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Les travaux d’amélioration des accès au Pont de Tancarville démarrés en 2014 se sont inscrits dans un environnement sensible, comptant des zones naturelles protégées.
Ce contexte à fort enjeu a conduit la CCI à inscrire ce sujet au coeur de son projet au même titre que les enjeux techniques et financiers. Cela s’est traduit notamment par le retraitement des eaux de ruissellement et un projet d’intégration paysagère très ambitieux, respectueux des espèces locales. Il prévoyait de révéler des marqueurs paysagers spécifiques tels que les zones humides le long de la Seine et le Marais Vernier.
En partenariat avec le Parc naturel Régional des boucles de Seine et le Grand Port Maritime de Rouen, des mesures ont été prévues pour compenser les surfaces détruites lors du chantier : 28 hectares de zones humides et de zones boisées ont été créées dont 16 hectares à l’extérieur du projet par réaménagement de parcelles et gestion extensive en prairies humides. D’autre mesures d’accompagnement ont prévu la création de deux mares sur l’ancien emplacement d’une filandre. Elles deviennent des zones de refuge et de reproduction pour la faune.
Les autres impacts positifs du projet sur l’environnement :
- Réduction de la pollution de l’air, des nuisances acoustiques, de la pollution lumineuse,
- Gestion des aménagements paysagers avec intégration d’aires de covoiturage.
Comité de suivi
Mis en place dans le cadre de l’arrêté d’autorisation au titre de la Loi sur l’Eau (article 7.2), le Comité de suivi a eu pour objectif d’informer sur le déroulement du projet d’Amélioration des Accès au Pont de Tancarville et la mise en œuvre des engagements pris par le Maître d’ouvrage.
Consultez la newsletter du mois de juin orientée sur les mesures environnementales du projet